samedi 24 novembre 2007

Buzz On Your Lips

Ce soir, j'ai assisté, accompagnée de Thomas et Romain, à un de Show Techno, Buzz On Your Lips. Au RecyclArt, salle de concert dans le centre de Bruxelles, DatA, vedette de la soirée, a fait vibrer la salle comme nul autre. Je connaissais seulement un mix de lui : Aerius Light. Mais ce soir, tous ces mix m'ont fait danser. C'était chaud.


Le cheeseburger sur la route du retour était muise aussi. J'ai pas de photos du concert, seulement une vielle photo de moi datant du 22 decembre 2006 qui n'a aucunement à faire là.

vendredi 23 novembre 2007

Petite trouvaille sympa



En revenant de l'escalade, ce soir, j'ai mangé un bonne pizza Dr. Oetker Ristorante. Mais ce fait n'étant pas le but de mon article, dirigeons-nous vers les choses plus sérieuses.

En surfant sur la toile, j'ai découvert un site web proposant quelques fonctionnalité assez amusantes et pratiques. Ce site permet, à l'aide de plusieurs outils et application (le tout en restant dans votre internet browser) de jouer avec vos photos. Par jouer, j'entends :

-faire des montages (mosaïc, slideshow, photoart, gallery, etc)
-faire des calendriers, des badges, background, des posters, des covers de CDs ou magazines.

Vous pouvez ensuite enregistrer gratuitement vos créations (elles vous appartiennent), ou commander les posters format géant pour une certaine somme.
Le tout se trouve par ici : http://bighugelabs.com/flickr/
Je me suis amusé un peu et voici 2 petites créations perso.
Aussi, le site suivant permet de trouver des synonymes, anthonymes et même des rimes au mot que vous voulez (en anglais).
Je vous laisse sur cette petite citation que je trouve trop muise :
"Some of the world's greatest feats were accomplished by people not smart enough to know they were impossible." -Doug Lawson-
au plaisir.

mercredi 21 novembre 2007

Juste parce qu'il faut écrire...

Dimanche dernier, ma séance d'escalade était franchement trop bien. Je sentais la puissance et ma technique se paufiner à chaque mouvement.

Lundi soir, on a fait un pré-TD chez Sophie pour la première fois. Ensuite, on a fait un TD, tout simple et on est revenu à 1h30. L'évenement muise c'est le gars qui voulait pêter la gueule à Thomas 2 parce qu'il était "un peu trop près" de Sophie. Thomas avait moi et l'autre Thomas comme back-up et je sais pas pourquoi, mais j'avais juste trop envie de me défouler ce soir là. Dommage qu'il ne nous en aient pas donné l'occasion. Je crois que ça aurait été injuste à 3 contre 1, mais tant pis, il était trop con.

Mardi était jour de congé. Fête de la St-Vé, patron fondateur (?) de l'ULB. Je suis retourné à l'escalade, mais c'était moins muise que dimanche dernier.

Aujourd'hui, Popo était malade, mais elle se plaint assez souvent de douleurs qu'il a fallut qu'elle vienne me voir en pleurant pour que je la prenne au serieux. On a regardé un film...
à suivre...

samedi 17 novembre 2007

Exploration du Monde - Exploit

Hier, à l'escalade, Bernardo m'invitait à se joindre à lui et 3 autres pour grimper en falaise. Bien sûr que j'allais accepter. 9h, samedi, devant la salle d'escalade, c'est le rendez-vous... auquelle je ne me suis jamais présenté. J'ai ajuster mon cell pour qu'il me réveille à 8h... dimanche, le lendemain. Je ne me suis donc jamais réveillé, et mon cellulaire belge sur silencieux ne m'a pas non plus réveillé lorsqu'ils ont essayé de m'appeller 4 fois en 30 minutes.
Mais la journée n'allait pas être complètement perdu. L'association Exploration du Monde organisait un festival de films sur le thème Exploits. Le tout se déroulait jeudi, vendredi et samedi. J'ai donc assisté à cette dernière journée. Pour 10 Euros, j'ai assisté à 7 court-métrages mettant en vedette des fou accomplissant des aventures grandioses. Le plus muise, c'est que ces fous étaient la en personne pour présenter leurs vidéos. Entre autre, j'ai assisté aux films et rencontré les héros suivants :
-l'inventeur du Kite-Surf (Manu Bertin)
- Arnaud van Schevensteen, un unijambiste qui a monté le Mont-Blanc et le Mont-Cervin
- Un team qui à parcourue le Québec à la recherche d'une cascade de glace à grimper pour ensuite la sauter en parachute.
- Hommage à Marco Siffredi, 23 ans, mort à la suite de sa 2e descente du Mont-Everst en snowboard.
- et finalement, Serge Girard, qui a traversé tous les continents (sauf Antarctique) en courant et sans journée de repos a chaque traversée.

Pas besoin de vous dire comment chaque exploit était impressionnant. J'ai même un petit souvenir perso : une carte autographié de Serge Girard. (www.sergegirard.com)


jeudi 15 novembre 2007

Soirée "ordinaire"

Ce qui devait être une soirée ordinaire s'est transformé... en soirée extraordinaire. Sur la ligne de départ, 2 potes. Sur la ligne d'arrivée... 2 potes. La piste de course, 1 bac... ou 2. Ils enchaînent les arguments comme si leur honneur était en jeu... ce qui est le cas. "Philosophe, nous atteignons le juste milieu. Mais en tant qu'être humains, comment s'arrêter à cette félicité ? C'est impossible, il faut continuer." (évangile selon Thomas, chapitre 1, verset 1). Une fois : "Combien tu pèse ?" demandais-je. "(barratain incompréhensible)", de me répondre Thomas. Et l'autre de me répondre en redescendant du pommier : "300 ! et j'affone !", s'exclama-t-il. C'est le boute du boute. Après quelques sens uniques, d'autre réflexions et après avoir complèté le 4e carré parfait, ils décident de se serrer la pince. Au lit. WOW.

dimanche 11 novembre 2007

pas grand chose de nouveau

Pas grand chose de nouveau ces-temps-ci. Jeudi dernier Popo quitte le kot tristement (elle reviendra en meilleure forme dimanche soir). Vendredi, Thomas fait une petite fête chez lui en l'honneur d'Aurore, une amie partie en Erasmus à Madrid, mais passant 1 semaine de vacances à Bruxelles (c'est quand même drôle de passer des vacances dans le nord). On a passé une bonne soirée et on a bien ris.

Samedi, j'ai passé toute la journée à attendre ma session d'escalade en soirée. Et quand je me suis finalement rendu à la salle, c'était fermé. J'étais trop faché, car j'avais vraiment besoin de cette séance pour me remonter le moral. En gros, une journée à oublier. Dimanche, même chose, à la différence près que la salle était ouverte et j'étais trop content. J'ai tenté une 6c+, mais mes avant-bras ne me permettaient plus, à ce moment là, de serrer les petites prises. Prochaine fois, je me la fait.

Popo est revenue. On est allé chez Thomas 2. Ça deviendra peut-être la tradition du dimanche (ça fait deux dimanches de suite qu'on va chez Thomas 2 lorsque Popo revient). On a joué avec GoogleEarth, le jeu des pays sur facebook et regardé des photos.

Et non, pas de grosse aventure cette fois. La petite routine à Bruxelles pour changer un peu de l'habituelle extravagance. Mais ne manquer surtout pas mes prochaines chroniques, on sait jamais ce qui peut arriver avec moi.

vendredi 9 novembre 2007

Thomas 2 et Popo grimpent

À la demande générale de Thomas 2, voici un court article sur la session d'escalade que j'ai partagé avec Thomas 2 et Popo, lundi soir dernier.

Thomas avait amené ses souliers exprès en prévision de cette séance que nous planifions depuis un bout de temps déjà. Popo aussi voulait grimper, mais a fait exprès d'oublier ses pants sport avant de partir. Elle le regretta ensuite puisqu'elle a fait quelques mouvements sur le bloc.

Voici une photo particulierement muise d'une réunion au sommet (pas si haut le sommet), et une autre de Popo en plein action :

Et... finalement... le vidéo tant promis de ma propre voie, complété, réussi. Je viens tout juste de la baptisée Hangin' Cockroach. Mais le plus muise, c'est qu'il est disponible en deux angles de vues differents ! "wow", me direz-vous. Voici la primeur :


mardi 6 novembre 2007

Une soirée inattendue

Cet article sera court, je vous le promet.

En rentrant de mon cours de bio. cell., je croise Thomas 2 qui allait à une pendaison de crémaillère d'un ami. Il m'invite à se joindre à lui et j'accepte même si je me demande qu'est-ce que je vais bien foutre là-bas : je ne connais pas le gars et il ne me connais pas. Mais il paraît qu'il aime bien les Québécois, alors je ne risque pas grand chose d'y jeter un coup d'oeil. On s'y rend avec Thomas et on est acceuilli par un chaleureux Philippe. Il y avait déja quelques personnes et nous nous installons donc et faisons connaissances. Phil nous offre des arguments, des chips et des sandwichs. Il sait maintenant que je suis Québécois et il me demande si je connais le groupe Tom et ses chums. "Non" lui répondis-je. Mais il m'a bien donné le gout de les découvrir tellement il m'en a parlé. La soirée continue dans le même sens qu'elle a débuté, c'est à dire : bien. De la musique : 3 tounes des Cowboys Fringuants, car il connaît aussi. On fait la connaissance d'autre gens, en autre, Georges, un Roumain, en Belgique depuis 15 ans, Julien, Émil (qui connaît quelques beaux tours de cartes), etc. Plus d'arguments, plus de chips et plus de sandwichs nous transportent jusqu'à 11h30. Je quitte avec Thomas, car j'ai cours à 8h le lendemain. Au revoir tout le monde, échanges de numéros, c'était une soirée inattendue... et muise.

lundi 5 novembre 2007

Ma première falaise !!

Ma Première falaise !
Dimanche 9h15, Bernardo vient me chercher à la salle d'escalade. Direction : Mozet, un groupement de trois falaises situées dans la petite localité de Govet. Nous arrivons à destination 45 minutes plus tard. Bernardo stationne la voiture en bordure de la route et nous nous dirigeons, avec le matériel, vers les falaises, à 5 minutes de marche. Ce simple petit parcour d'approche suffit à exciter mes sens. La belle température, les arbres perdant leurs feuilles qui jonchant le sol, le tourbillons de couleurs. Tous les élements de l'atmosphère s'était concertés pour tenter de rendre ma première journée en falaise mémorable. Au pied de la falaise, on se réchauffe et met notre baudrier. On commencera tranquillement, par des voies faciles.
Première voie, niveau 4, Bernardo grimpera le premier, pour le reste de la journée aussi, en tête et moi je l'assurerai jusqu'au sommet. Lorsque viendra mon tour, je grimperai en moulinette en ayant bien sûr la tâche, moins extravagante, mais tout aussi noble, de ramener les dégaines lors de mon ascension.

Première voie : facile, une chance.

La deuxième, une 5a, pas de commentaire si ce n'est que : tout aussi facile, mais déjà plus interessante.


La troisième, un 5c, un peu plus dure, mais toujours loin de ma limite.

Une autre 5c, Cette fois j'ai eu une petite difficulté sur les deux premiers mouvement seulement. Mon inexpérience de la falaise transpire enfin, je ne sais pas comment chercher les prises. C'est justement la principale différence entre la falaise et la salle, les prises n'ont pas de couleurs et il faut les trouver nous-mêmes. Au sommet de cet voie, j'ai tourné un petit video avec mon appareil photo (dispible ici, en bas). Le panorama sur la vallées, collines avoisinantes et arbres multicolores et le sentiment de satisfaction d'avoir réussi une autre voie à vue, si facile soit-elle, c'est magique.


La suivante, une belle 6a+ baptisée Adrenaline. Super voie, beaux mouvements. Je l'ai enchainé à vue, mais le crux m'a donné du fil à retordre. Aucune prise de pied, je me sert de l'adhérence, mes avants-bras gonflent et deviennent dures. Ça passe, je me repose après le crux et arrive au sommet.

Ensuite, une 6b juste à coté, m'a donné la peur de ma vie, mais pas pour les raisons que vous vous imaginer. Je me rends jusqu'aux trois quart avant de me buter au crux que je ne franchirai jamais même après 3 tentatives résultant en chutes. La troisième fût fatale... pour mon appareil photo. En effet, j'ai été assez stupide pour oublier de l'enlever après les voies faciles. Il a donc trouvé la sortie de ma poche, alors que je me balançait à une quinzaine de mètres au dessus du sol. Il percute le sol à coté de Bernardo et continue à rouler dangeureusement dans la pente descendante en direction de la rivière. Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point ça ma fait chier ! Je pensais au 550 $ et au fait que je l'avais acheté juste avant de partir. Je demande donc à Bernardo de me descendre pour constater les dégats. Je sacre, panique et capote... jusqu'a ce que j'ouvre la pochette de l'appareil pour me rendre compte qu'il n'est pas cassé. Je prends des photos et il fonctionne ! Je remarque seulement qu'il a une petite déformation sur le boitier juste en haut de l'écran. Dorénavant, tous mes appareils photos seront des Canons.

La dernière voie, une 6a selon le topo, mais 6b selon des cotations sur internet allait nous donner du fil à retordre. Au début, elle est facile, viens le moment où il faut se rendre et décrocher la dernière dégaine. Elle est tellement mal placé, complètement à gauche de la voie, inaccessible (mes félicitations à Bernardo qui a réussi à l'accrocher, il y a presque laissé une phalange). Je me trouve donc à 1,5 mètres à droite et juste un peu au dessus de la dernière dégaine dans une position de semi-repos. Il faut me diriger vers la gauche pour la récuperer. Je fais une tentative en basculant mon poid vers la gauche et tends la main vers la dégaine, elle est encore trop loin. Je reviens au semi-repos. Je commence à fatiguer, mais je sais que je dois récupérer la dernière dégaine avant de continuer ou redescendre. Une autre tentative, une autre position, un autre échec. Je reviens à droite, mes avant-bras commencent à durcir, mon cerveau s'embrouille, mes membres tremblent, c'est le début de la panique, la peur de la chute s'intensifie. Je m'imagine en train de chuter 1,5 mètre et me balancer vers la gauche, heurtant la paroi. Calme-toi Dim, accroche-toi. Je me résonne intérieurement et reprend à peine mon sang-froid. Je me relance, dernière tentative. Il n'y a pas de prises de pieds, c'est ce qui rend le mouvement si difficile. Je pose donc mon pied gauche en adhérence à plat sur la paroi qui n'est pas totalement vertical. Je ne croyais jamais qu'il tiendrait. Les doigts de ma main droite dans une interstice supporte la presque totalité de mon poid puisque je ne fais pas confiance à mon pied, avec raison. Je tends la main, et atteinds le bout de la dégaine dans lequel la corde passe. je libère la corde et reviens vers la droite. Je souffle, je ne sens plus mes doigts. Semi-repos. Je grimpe le restant jusqu'à la chaîne m'indiquant la fin de la voie. En redescendant, soupir de soulagement, la voie et la dégaine sont dans ma poche. Le coeur léger, mais bondissant, je reviens au sol.

On pack nos choses et retourne à la voitures. Sur le retour, on s'arrête dans une fromagerie pour acheter du salami et du fromage et on se fait des sandwichs en passant en revue nos performances de la journée. Il est 17h30. Une heure plus tard, je serai dans mon kot.


Wow, ma première falaise et que d'émotions !
Toutes les photos sur mon espace perso msn :

http://wydim.spaces.live.com/photos/
Les voies en ordre :
4
5a
5c
5c Grizzly
6a+ Adrenaline
6b
6b

samedi 3 novembre 2007

Souper crêpes et confirmation pour sortie en falaise

Ce soir, j'ai pas eu de souper ordinaire. Lucy nous invitaient, moi et les mêmes filles du voyage au Luxembourg, à manger des crêpes chez elle. Après, on a regarder un film, Arsenic and old Lace, qui est en fait une vielle pièce de théatre. Ce n'était pas une perte de temps, mais le genre est très spéciale et la pièce aurait dû, selon moi, s'en tenir au théatre.

Lorsque je rentre, Julia était déjà revenue de Pologne !!

Mais ce qui est le plus muise, c'est l'appel que j'ai reçu de Bernardo, un partner d'escalade. Il me confirmait le rendez-vous suivant : demain, 9h, devant la salle d'escalade. Non, nous ne grimperons pas en salle. C'est la falaise qui nous attend. Ma première à vie ! J'ai super hâte au challenge et j'espère que j'en garderai de beaux souvenirs. J'espère aussi pouvoir vous ramener des photos et vidéos, mais le hic est que l'on sera seulement deux et qu'il est plutôt improbable que je prenne des photos pendant que je l'assure et vice versa. J'en prendrai quand même lorsque je pourrai et ne manquez pas l'article.

vendredi 2 novembre 2007

Luxembourg, Luxembourg

Qui connait ce petit état souverain d'Europe coincé entre la France, la Belgique et l'Allemagne ? Et bien moi, je peux seulement me vanter de le connaître un peu plus qu'il y a 2 jours.

Anna, Emma, Lucy, Catherine et moi prenons le train de la gare Central à 8h40. Une sieste et trois heures et demie plus tard, je foule le sol luxembourgeois. En sortant de la gare (située dans le luxembourg moderne), je ne suis pas dépaysé du tout. Cette ville ressemble plus à Montréal que n'importe quel autre ville que j'ai visitée en Europe. On a tous entendu parler des banques nombreuses au Luxembourg, mais laissez-moi vous informer que Montréal n'a rien à envier dans ce domaine. Nous suivons la rue de la Gare vers le nord, pour atteindre un pont viaduc qui traverse une vallée énorme et abouttissons alors dans le vieux Luxembourg. C'est cet partie de la ville qui à écrit l'histoire. J'ai appris que Luxembourg était une vrai forteresse militaire de par sa topographie (une vallée géante entourait la ville et la rendait difficilement prenable). Depuis le début de son histoire écrite en 963, la ville a été occupé par les Espagnoles, les Français, les Autrichiens et les Prusses.

On fait le check-in de notre auberge en n'oubliant pas de remarquer que c'est l'auberge de jeunesse la plus propre et moderne que j'ai visité. Ensuite, nous visitons les Casemates (passages souterrains de la fortifications). Nous poursuivons notre marche sur le chemin de la corniche qui révèle une vue magnifique donnant sur la vallé tranchée dans l'est de la ville.



On marche toute la journée, passant du temps dans des cafés, restaurant. On se promène dans le centre et on regarde les vitrines des magasins. Nous rentrons finalement à l'auberge pour se coucher vers minuit.


Le lendemain, au petit déjeuner, je voulais seulement faire remarquer que le lait était froid, ce qui est rare pour une auberge, mais aussi que le menu ne comportait pas de fruits, ce qui est aussi rare.

Ensuite, moi et Catherine passont 2h30 dans le musé d'histoire et de l'art, pendant que les autres, moins interessées, s'informent dans un bureau touristique pour se rendre compte que la ville de Luxembourg est très petite et qu'on avait déjà presque tout vu. On perd alors encore du temps dans des cafés jusqu'a qu'une amie Luxembourgeoise à Emma nous fait suivre un petit tour guidé de quelques beaux panoramas d'en haut et d'en bas des fortifications.

On rentre avec une seule déception en tête : le fait que Luxembourg se visite bien en une journée, alors que nous en avons pris deux.

Rappel : Toutes les photos sont sur mon espace msn dans l'album Luxembourg.

http://wydim.spaces.live.com/photos/